Page:Barneville - Le Rythme dans la poésie française, 1898.djvu/86

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

La croissante cherté de ces locaux motive
Notre départ prochain par la locomotive.

Au fauteuil de Delille on place Campenon,
A-t-il assez d’esprit pour qu’on l’y campe ? Non.

On peut même soutenir la gageure plus longtemps :

Enfin, elle est donc ajournée,
La journée,
Où nul autant que saint Médard
Ne met d’art,
A nous faire tomber à verse
Une averse…[1] etc.

On arrive plus vite qu’on ne pense, avec un tel système, à des calembredaines de cette sorte.

Hâtons-nous d’ajouter qu’à côté de ces fantaisistes prescriptions on trouverait dans la poétique parnassienne d’assez judicieuses

  1. Voy. Souriau.