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Page:Barrès - Le culte du moi : le jardin de Bérénice.djvu/317

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CHAPITRE  TREIZIÈME

petite-secousse n’est pas morte !

Les journées qui suivirent l’enterrement de Bérénice, je les donnai avec une ponctualité en quelque sorte machinale aux devoirs de mon nouvel état. Mais déjà il ne m’était plus qu’une passion refroidie, un casier de mon intelligence. Et ce pays aussi, que j’avais dû orner de toutes mes émotions pour m’en faire un séjour utile, maintenant que