Page:Basset - Nouveaux Contes berbères, 1897.djvu/15

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celles chez qui l’existence du berbère comme langue parlée, n’est plus qu’une question de jours.

Comme pour la première série, j’ai accompagné ma traduction de notes comparatives que les folk-loristes de profession trouveront sans doute incomplètes ; j’ai d’autant moins de peine à le croire que de nouvelles recherches m’ont permis d’ajouter un nombre considérable d’additions aux notes de la première série, sans me flatter, bien entendu, d’épuiser la matière. Il en est certainement de même pour cette série, mais ceux qui savent combien il est difficile de travailler en province, où l’on est réduit à ses ressources personnelles, loin de celles que Paris peut seul fournir pour des recherches comparées, voudront bien ne tenir compte que de mes efforts pour laisser le moins de lacunes possible en ce qui concerne les versions orientales, J’espère, dans un nouveau volume, qui se fera moins attendre que celui-ci, donner, outre une nouvelle moisson, un supplé-