Page:Basset - Nouveaux Contes berbères, 1897.djvu/95

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ne descendît sur lui. Il alla jusqu’au poisson et lui dit : « Ô poisson, il existe un homme : il est debout comme une poutre. Sa postérité tirera la tienne des eaux pour s’en nourrir, et mes descendants, il les prendra pour les manger » (165).