identité entre la liberté et la fatalité, mais cette identité a toujours existé. Cette identité c’est l’histoire, histoire des nations et des individus.
Sonnet à citer dans Mon cœur mis à nu.
Citer également la pièce sur Roland[1].
Je songeais cette nuit que Philis revenue,
Belle comme elle était à la clarté du jour,
Voulait que son fantôme encore fît l’amour,
Et que, comme Ixion, j’embrassasse une nue.
Son ombre dans mon lit se glisse toute nue,
Et me dit : « Cher Damon, me voici de retour ;
Je n’ai fait qu’embellir en ce triste séjour
Où depuis mon départ le sort m’a retenue.
« Je viens pour rebaiser le plus beau des amants ;
Je viens pour remourir dans tes embrassements ! »
Alors, quand cette idole eut abusé ma flamme,
Elle me dit : « Adieu ! Je m’en vais chez les morts.
Comme tu t’es vanté d’avoir f… mon corps,
Tu pourras te vanter d’avoir f… mon âme »
Je crois que ce sonnet est de Maynard.
Malassis prétend qu’il est de Théophile[2].
Hygiène. Projets. — Plus on veut, mieux on veut.
Plus on travaille, mieux on travaille et plus on