Conte qu’on débite touchant sa religion. V. 143. Désapprouve la conduite du duc de Savoie envers les Vaudois. 145. Il parle à des Anglais avec beaucoup de douceur. ib. Il leur débite des maximes que M. Jurieu a louées, sans songer qu’il aurait à les combattre un jour. 146. Il est trompé vilainement par trois libraires de Hollande, qu’il avait attirés à Rome. 147. Il était bien plus aimé des jésuites que des jansénistes. 140.
* Alexandre VIII. Voyez Ottoboni.
Alexandre (Noël). Caractère de sa théologie morale. XV. 355.
Alexandrie. On y célébrait la fête d’Adonis du temps de saint Cyrille. I. 229. Son école dépravée par les subtilités des disputeurs. 524. Un philosophe païen y enseigne publiquement l’éternité du monde au VIe. siècle. I. 528. Ses habitans députent à Caligula pour se plaindre des Juifs. II. 175. Sa chronique débite une assez plaisante chimère sur la fille d’Aquila. VII. 428.
Alexis. I. 445.
Alfenus Varus. I. 446.
Alfonse X, roi de Castille. Critique qu’on lui attribue des œuvres de Dieu. IV. 564 et 565.
Alfonse. Deux rois de ce nom ont été. confondus, et plusieurs choses ont été transportées de l’un sur l’autre. IV. 567. Aucun d’eux n’a pourtant pris la peine de compiler lui-même le Coutumier. Là même.
Alfonse, roi de Portugal. XII. 290.
Alfonse, roi de Naples. Jusqu’où il a marqué l’estime qu’il faisait d’Ovide. XI. 290.
Alfonsines, tables astronomiques. Qui est l’auteur de cet ouvrage, et quelle dépense on y fit. IV. 564.
Alibrai (Vion). Trad. de Huerta. VIII. 292.
Alypius d’Antioche. I. 448.
Alypius d’Alexandrie. I. 450.
Alypius de Tagaste. I. 451. Déconseillait le mariage à saint Augustin. II. 552. Quel était le caractère de son esprit. IV. 608.
* Alypius (Falt. Prob.). I. 452.
Allacen. Ce qu’il écrit sur les Crépuscules joint au Traité de P. Nonius sur le même sujet. XI. 185.
* Allatius. I. 453. Personne n’a porté plus loin que lui l’autorité du pape I. 455. Plaisante réponse qu’il fit à Alexandre VII, sur ce qu’il n’embrassait point le sacerdoce. 456. Le jugement que M. Claude fait de cet auteur. VIII. 292.
Allemagne. Plusieurs de ses princes catholiques députent à Louis XIII, pour lui recommander les intérêts de leur religion. IV. 132. Quelle ville d’Allemagne a été appelée le Paradis. VI. 248. Quelle est la source de la guerre qui l’a désolée depuis l’an 1618 jusqu’à la paix de Munster. VIII. 648. Il y avait d’assez illustres poëtes latins avant Conrad Celtes. IX. 66.
Allemands. Veulent qu’on marque dans les Éloges jusqu’à l’heure de la naissance. V. 49. Mais Roland des Marets les en blâme. Là même. Qui a été le plus ancien historien qui soit sorti de cette nation. VI. 103. Allemands attrapés un jour par le pape Jules II. VIII. 452. N’apprennent qu’une profession. I. 128. Leurs pertes au siége de Landau en 1702. IX. 55
Alliance monstrueuse entre le culte des dieux et les plus sales passions. II. 13.
Alliances. Réflexions sur celles qu’on fait avec les hérétiques ou avec les infidèles. II. 239. Reproches que les Français et les Espagnols se font mutuellement au sujet de leurs alliances avec les hérétiques. IV. 482. Le pape ne peut traiter en bonne conscience avec les infidèles. Là même.
Allix. Annonce la perte de l’antechrist pour 1716, 1720, ou 1736. IV. 113.
Allusions ridicules d’un passage de saint Bernard. II. 412.
Almachius tué par les gladiateurs. I. 453. On croit pourtant que ce saint est imaginaire, et pourquoi. Là même.
* Almain. I. 457.
Almanach. mot, étant abrégé, a été pris pour un nom d’homme dont on a fait un martyr. I. 453.
Almanach. Léon Morgard condamné aux galères à cause des prédictions qu’il avait mises dans le sien. IX. 586. Mépris du médecin Sylvius pour l’almanach. XIII. 293.
