Page:Beauclair - Ohé ! l’Artiste, 1887.djvu/110

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Il reste là tous les jours à se promener la canne à la main. Il ne fait rien ! Est-ce une occupation pour un jeune homme ?

Le vieux ne répondait pas. Il ne pouvait plus se passer de Jean dont la société l’amusait. Sans son neveu, il était seul au Billot. Bah ! ses moyens pouvaient lui permettre cela. Jean était comme son garçon. Quant à l’avenir, Jean n’avait pas à s’en inquiéter. Est-ce qu’il n’était pas l’héritier ?

Il ne voulait pas dire aux Picot que son intention était de léguer directement à Jean sa fortune, en la faisant sauter par-dessus leur tête. — Elle devait revenir à la femme du marchand de porcelaine. — Le vieux Regallard se vengerait ainsi du refus d’un billet de