Page:Beaumarchais - Œuvres choisies, édition 1913, tome 2.djvu/350

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 réparons le
tort qu’on nous a fait tantôt, quand j’ai sauté par la fenêtre.

LE COMTE, à part.

Ah ! tout se découvre enfin.

SUZANNE, près du pavillon à sa gauche.

Avant d’entrer, voyez si personne n’a suivi. (il la baise au front.)

LE COMTE s’écrie.

Vengeance !

(Suzanne s’enfuit dans le pavillon où sont entrés Fanchette, Marceline
et Chérubin.)


Scène xx

X.


LE COMTE, FIGARO.

(Le Comte saisit le bras de Figaro.)
FIGARO, jouant la frayeur excessive.

C’est mon maître.

LE COMTE le reconnaît.

Ah scélérat, c’est toi ! Holà, quelqu’un, quelqu’un !


Scène xx

XI.


PEDRILLE, LE COMTE, FIGARO.
PEDRILLE botté.

Monseigneur, je vous trouve enfin.

LE COMTE.

Bon, c’est Pédrille. Es-tu tout seul ?

PEDRILLE.

Arrivant de Séville à étripe cheval.

LE COMTE.

Approche-toi de moi, et crie bien fort.

PEDRILLE,