ACTE I, SCENE II. ià3
MADAME JITJRER.
Robert, il faudra -vider ces malles, et remettre un peu d'ordre ici.
ROBERT.
Ou u'a pas encore eu le temps de se reconnoitre.
I. E BARON, à Robert. OÙ dis-tu que loge le capitaine.^
ROBERT.
D ins Sulfock-Sireet, tout auprès da Bagno.
LE BA ROJf.
C'est bon, ( RoLert sort. )
SCENE III. 3IADAME MURER , LE BARON , EUGENIE.
M A D A SI E MURER.
(Le ton de madame Murer, dans toute cette sceue , est un peu dédaigneux. ^
J'cspere que vous n'oublierez pas de vous faire écrire chez le lord cojute de Clarcndon , quoiqu'il soit à Windsor; c'est un jeune seigneur fort de mes amis , qui nous prête cette ma.^;'C'a pendant notre séjour à Londres, et vous sentez que ce sont là de ces devoirs...
LE BARON, h\ contrefaisant.
Le lord Comte un tel, un grand seigneur, fort mon ami : comme tout cela remplit la bou(;lie d'une femme vaine !
MADAME M C R E R .
Ne voulez-vous pas y aller, monsieur?
L F. R « R O N .
Pardonnez-!noi , ma sœur; voi'à trois fois que
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