Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/203

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ACTE I, SCENE X. 1G7

SCE^E H. •

LE BARON, LE^COMTE, madame MURER, EUGENIE.

LE B A R O N , f n filtrant , rrie tlehors. Renvorez-le, vous dis-je. ( à lui-iiième , en avan- çant.) L'iudigne séjour! la sotte ville! et sur-tout l'impertinent usage d'aller voir des gens qu'on sait absents !

MADAME MURER.

Toujours emporté !

LE BARON.

Hé Lien, lié bien , ma .sœur ! ce n'est pas vous que cela regarde.

MADAMEMURER,

Je le crois , monsieur : mais que doit penser de vous milord Clarendon.**

LE BAROH', saluant. Ail ! pardon, mîloid.

MADAME MURER.

Il vient ici vous offrir ses bons offices auprès de vos juges...

LE BARON, au Comte.

Excusez : l'on vous dira que j'ai passé à votre hôtel.

L E t: o M T E.

Je suis fâché, monsieur...

LE BARON, se tournant vers sa fille. Bonjour, mon Eugénie. X.E(OMT£, à lui-raèine , se rappelant la dernière pliiase d'Eugénie. La joie a donc aussi ses larmes !

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