Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/242

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Un père en fureur qui ne «ouuoit plus rien ; une fille au dési’spou- qui n’écoute personne ; un amant scélérat qui.cumble la mesure... Quelle horrible situation ! ( Elle rêve uu moment.) Vengeance , soutiens mon courage I Je vais écrire moi-même au Comte : s’il vient... Traître , lu paîras cher les peiues que tu nous causes .’

��FIN uu TROISIEME ACTE.

��JEU D’ENTR’ACTE.

Us domestique f n’ri’ , range ic salon, éteint le lustr» et le-: bougies de ra[)partemeu . Ou enti>ndune sonnette de liniérieur : il écoute, et indique par ton gtste que c est inridame Murer qui sonne. U y court. Un moment après il r> passe avec un bougeoir allumé , et sort par la porte du vestibule ; il leufre sans lumieri suivi de plu- sieurs domestiques auxquels il ])ar e bas, et ils jiasseut tous à petit bruit chez madame Murer, qui est alors cen- sée leur donner ses ordres. Les vaiets repassent dans le salon, courent dehors par le vestibule . et rentrent chez madame Murer par le même salon, armes de couteaux dédiasse, d épées et de flambeaux non allumés. Un m : ment après , Robert entre par le vestibule , une lettre à la main , un bougeoir dans 1 autre . romuie c’est la réponse ilu coir.té de Llarendon qu il r.qiporte , il se presse de ])asser die/ madame \iurer pour la lui remettre. Il V a ici un petit intervalle de temps saus mouvement, et le quatrième acte commence.