ACTE I, SCENE TU.' lâ
A N D Pi É , (l'un ton de niais.
Celai qui vient... Qui m'a tant fait rire le jour de i>etfe histoire...
SI É r, A c r F. R E. Est-ce qu'il n'a p.is de nom ?
ANDRÉ.
Si fait , il a ua nom. Monsieur.... njoTjsienr.... C'est qu'il s'appelle encore autrement.
MÉI. AC PERE.
Autrement que quoi ?
A N u R É.
.le l'ai bien entendu peut-être.... Paris , deux et demi ; Marseille, Canada, trente-liuit , que sais-je? MÉLAO PERE, riaut lie pitié. Ah ! l'agent de change.
ANDRÉ.
C'est ça.
MÉLAC PERF.
Mais ce n'est pas moi qu'il cherche.
ANDRÉ.
C'est monsieur Dabius.
MET. ACPERE.
Quil passe à la caisse d'AurelW.
ANDRÉ.
Il en vient. Ce caissier n'est-il pas déjà sorti !
MÉLAC PERE.
Un jour comme celui-ci ! Il est donc fou!
ANDRÉ.
Je ne sais pas.
M É l, A C PERE.
Voyez à sa chambre, au jardin , partout.
ANDRE, va et revient. Moi, j'ai mon ouvnige... et si je ne le trouve pas, qu'est-ce qu'il faudra que je lui dise.^
M É I. A r. PERE.
Piien. Car on ne liniroit plt)^,..
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