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deuxième partie. — la relativité généralisée.
forment comme les et constituent par suite un quadrivecteur
contrevariant[1].
En résumé les équations de Maxwell s’écrivent :
Premier groupe (4-15), (6-15), (8-15).
(15-15)
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Deuxième groupe (5-15), (12-15).
(16-15)
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Jusqu’à présent, nous avons des coordonnées galiléennes. Il
s’agit de trouver les relations générales valables dans un système
de coordonnées arbitraires et se réduisant aux précédentes
pour un système galiléen. La généralisation est immédiate ;
l’équation (15-15) est covariante : elle subsiste dans tous les systèmes ;
quant à l’équation (16-15), c’est la forme dégénérée
de il suffit, pour avoir la relation tensorielle générale,
de remplacer par la divergence
Les équations générales de l’électromagnétisme sont donc
les suivantes :
(17-15)
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étant le quadrivecteur potentiel et le quadrivecteur densité
de courant-densité de charge.
Telle est la généralisation des équations de Maxwell-Lorentz.
Ces équations sont valables dans un champ de gravitation permanent
(Univers non euclidien) parce que les conditions d’application
du principe d’équivalence (no 77) sont remplies.
- ↑ Inversement, étant un quadrivecteur contrevariant d’après ce qui précède,
est un invariant, ce qui prouve que la charge du volume propre est
invariante. C’est une nouvelle manière d’établir ce résultat.