Cette page a été validée par deux contributeurs.
court au combat où le provoque Ajax sans donc éprouver aucune peur, dirons-nous qu’il est courageux ?
Non, Socrate, nous ne le dirons pas.
Quand Apollon, sachant que son état de dieu le préserve du trépas (car les remèdes de Péon guérissent toujours les plaies des immortels), s’avance au premier rang sous la pluie de traits des Grecs, sans que son cœur connaisse la moindre angoisse, lui accorderons-nous la bravoure ?
Certes, nous ne la lui accorderons pas.
Mais quand Iphigénie, apprenant