Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 2, 1912.djvu/309

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d’un bond. La jeune femme gisait évanouie sur le plancher, les cheveux hérissés et les yeux fendus d’horreur. Elle avait vu !

Or ce qu’elle avait vu c’était ceci :

Dans un cercueil de cristal un cadavre de vieille dansait, comme à la cour du Portugal.

Il n’avait pu se séparer d’elle. Il l’aimait par delà la mort. Il la conservait dans l’alcool.

On se demande pourquoi il y a des honnêtes femmes.