Page:Berlioz - La Damnation de Faust, Richault.djvu/22

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Et l'un sur l'autre dans le rond,
Ha ! ha ! ha ! ha !
Landerida !
Tous tombaient à la file.

troisième couplet.

Ne me touchez donc pas ainsi !
— Paix ! ma femme n'est point ici !
Profitons de la circonstance !
Dehors il l'emmena soudain,
Et tout pourtant allait son train,
Ha ! ha ! ha ! ha ! landerida !
La musique et la danse.