Page:Bertrand, Gaspard de la nuit, 1895.pdf/88

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



Et le raffiné se panadait le poing sur sa hanche, coudoyant les promeneurs et souriant aux promeneuses. Il n’avait pas de quoi dîner ; il acheta un bouquet de violettes.