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Page:Bertrand, Gaspard de la nuit, 1920.djvu/100

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tait nuit. Ce furent d’abord, — ainsi j’ai vu, ainsi je raconte, — une abbaye aux murailles lézardées par la lune, — une forêt percée de sentiers tortueux, — et le Morimont [1] grouillant de capes et de chapeaux.

Ce furent ensuite, — ainsi j’ai entendu, ainsi