Page:Bertrand, Gaspard de la nuit, 1920.djvu/160

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MA CHAUMIÈRE.

En automne, les grives viendraient s’y reposer, attirées par les baies au rouge vif du sorbier des oiseleurs. Le baron R. MONTHERME

Levant ensuite les yeux, la bonne vieille vit comme la bise tourmentait les arbres et dissipait les traces des corneilles qui sautaient sur la neige autour de la grange. Le poète allemand VOSS. — Idylle XIII.

Ma chaumière aurait, l’été, la feuillée des bois pour parasol, et l’automne, pour jardin, au bord de la fenêtre, quelque mousse