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XX LES PHENOMENES DITS DE MATERIALISATION

ment des jours de séances, il m'arrive de l'endormir pen- dant qu'elle travaille et sans qu'elle s'en aperçoive, rien qu'en y appliquant toute ma volonté.

Les jours de séance, si je remarque, après l'avoir endormie, que son sommeil n'est pas assez profond, je l'augmente en lui prenant le front et la nuque, comme je l'ai indiqué plus haut.

Jamais Eva n'entre dans la chambre des séances en dehors des moments où je l'endors.

Lorsque j'habitais avenue Victor-Hugo, j'avais toujours sur moi la clef de cette chambre. Rue George-Sand, où nous sommes actuellement, un appartement entier est consacré aux études : cet appartement est à côté du mien ; j'en ai seule la clef. La chambre dans laquelle ont lieu les séances est, elle-même, fermée, jamais le médium n'y entre seul.

Ces quelques indications, bien que très succinctes, étaient nécessaires, car elles éclairent, sur un certain nombre de points, les faits consignés dans les comptes rendus des séances, que je reproduis ci-après, en les appuyant des photographies qui s'y rattachent.

J. B.

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