Cette page n’a pas encore été corrigée
la cervelle. J’aime mieux mes fraises[1], mes ennuis et mes créanciers. Consolez G. Tâchez de lui faire prendre patience. Je ne vois rien, et croyez que cela me chagrine sérieusement.
Votre aventure au musée nous a fait rire aux larmes, Guiraud[2] et moi. Mille remerciements de tous deux et tenez-nous au courant de vos mœurs provinciales.
J’ai signé mon traité[3]. Je dois avoir mon premier acte lundi. Ma symphonie[4] est toujours inachevée. Il est vrai que j’ai à composer des mélodies pour Choudens. Je vous enverrai tout cela dès que ce sera publié[5]. Tout en achevant mes travaux d’éditeurs et en commençant ma Jolie Fille de Perth, je vais terminer ma symphonie pour laquelle j’ai un faible marqué, bien qu’elle me fasse endiabler.
- ↑ Il écrivait du Vésinet.
- ↑ Son ami, le compositeur Ernest Guiraud.
- ↑ Le traité avec la direction du Théâtre-Lyrique pour la représentation de la Jolie Fille de Perth.
- ↑ Roma. Voir l’introduction, pp. 22-24.
- ↑ Je reçus, plus tard, en effet, trois mélodies éditées séparément chez Choudens et qui ont été placées ensuite dans le premier recueil : Douce Mer, Après l’Hiver et les Adieux de l’Hôtesse Arabe.