Page:Bloy - Le Salut par les juifs, 1906.djvu/136

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de son émotion du Vendredi Saint, et nous savons que les « iotas ou les points » ne pardonnent pas, qu’ils sont aussi implacables et ne se laissent pas mieux pénétrer que les apologues ou les oraisons les plus grandiloques de cette Écriture scellée Trois et Quatre fois, dont tant de chrétiens ont imaginé de si confortables explications.