Page:Boccace - Décaméron.djvu/641

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


TABLE DES MATIÈRES


LE DÉCAMÉRON.
Dans laquelle, après que l’auteur a expliqué pour quelle cause il advint que différentes personnes dont il est parlé ci-après se réunirent pour causer entre elles, on devise, sous le commandement de Pampinea, de ce qui plaît le plus à chacun. 
 5
Nouvelle I. — Ser Ciappelletto trompe un saint moine par une fausse confession, et meurt. Après avoir été un très méchant homme pendant sa vie, il passe pour un saint après sa mort, et est appelé San Ciappelletto. 
 21
Nouvelle II. — Le juif Abraham, poussé par Jeannot de Chevigné, va à la cour de Rome, et voyant la dépravation des gens d’église, il retourne à Paris et se fait chrétien. 
 31
Nouvelle III. — Le juif Melchissedech, avec une histoire de trois anneaux, évite un piège dangereux que le Saladin lui avait tendu. 
 35
Nouvelle IV. — Un moine ayant commis un péché digne d’une très grave punition, échappe à la peine qu’il avait méritée en reprochant adroitement la même faute à son abbé. 
 37
Nouvelle V. — La marquise de Montferrat, au moyen d’un repas uniquement composé de poules, et avec quelques paroles gracieuses, réprime le fol amour du roi de France. 
 40
Nouvelle VI. — Un brave homme confond par un bon mot la méchante hypocrisie des gens de religion. 
 43
Nouvelle VII. — Bergamino, en contant une nouvelle concernant Prismasso et l’abbé de Cluny, critique honnêtement un trait inaccoutumé d’avarice chez messer Can della Scala. 
 45
Nouvelle VIII. — Guiglielmo Borsiere, avec quelques mots polis, perce jusqu’au vif messer Ermino de Grimaldi sur son avarice. 
 49
Nouvelle IX. — Le roi de Chypre, piqué au vif par une dame de Gascogne, devient homme d’énergie, de pusillanime qu’il était. 
 51
Nouvelle X. — Maître Albert de Bologne fait honnêtement rougir une dame qui avait voulu lui faire honte de ce qu’il était amoureux d’elle. 
 52
Dans laquelle sous le commandement de Philomène, on devise de ceux qui, après avoir été molestés par diverses choses, sont, au delà de leur espérance, arrivés à joyeux résultat. 
 58
Nouvelle I. — Martinello feint d’être perclus et de recouvrer la santé sur le corps de saint Arrigo. Sa fourberie ayant été reconnue, il est battu, mis en prison, et en grand danger d’être pendu. Finalement il en échappe. 
 58