pisode de l’horlogère[1], qui m’avoit toujours paru un peu trop long. Il seroit inutile maintenant de nier que ce poëme a été composé à l’occasion d’un différend[2].....
- ↑ Boileau, dans les éditions du Lutrin postérieures à 1700, remplaça l’horlogère par la perruquière.
- ↑ La fin de cette préface est devenue la préface particulière du Lutrin.