Page:Bornier - Poésies complètes, 1894.djvu/55

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L ORCHESTRE 4$ Tu béniras la femme au cœur faux et moqueur, En songeant au cœur chaste où reposa ton cœur ; Alors, la trahison, l’injure, l’ironie, Disparaîtront pour toi dans la grande harmonie, Et, comme cet orchestre aux sons mystérieux, Tu comprendras la vie et tu l’aimeras mieux ! Novembre 1865.