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I

Le long des Côtes de la France,
Il est des gamins par milliers
Ayant dans le cœur l’assurance
D’être un jour de fameux gabiers ;
Mais, en attendant l’âge, on rôde
Des Aurores jusqu’aux Couchants
Et l’on fait un peu la maraude
Dans les vergers et dans les champs !

REFRAIN

Hardi ! hardi ! les moussaillons,
Espoir de nos vieux pavillons !
XX Les pommes sont mûres,
XX Grimpez aux ramures !