Page:Botrel - Contes du lit-clos, 1912.djvu/272

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C’est de ma vie, ô mon Jésus !
Que ta frêle existence est faite…
Mais, un jour, moi qui te conçus,
Tu m’oublieras dans quelque fête :
Prends mon cœur et montant dessus,
Du pur bonheur atteins le faîte
Et que toujours, ô mon Jésus !
Ta seule volonté soit faite !…








(Musique de P. Delmet. — Enoch et Cie, éditeurs)