Page:Botrel - Contes du lit-clos, 1912.djvu/300

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— Allons, pauvre homme ! il faut mourir !
Tes yeux vont bientôt se rouvrir,
Ferme doucement ta paupière,
Meurs, en disant une prière :
La Mort est légère
À qui sait mourir !








(Gallet, éditeur.)