Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/84

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rable perspective, lorsqu’un grand bruit me tire tout à coup de ma rêverie. — Un accident ? — Non, je passais sur un pont de fer, d’où j’entrais par des avant-cours magnifiquement plantées, et de là dans une cour entourée de colonnes. À la lueur de beaucoup de lampions qui la bordaient, je vois un beau château avec toutes les fenêtres éclairées, une grande affluence de monde allant et venant dans les cours et sous les portiques. Je me frotte d’abord les yeux, et mon premier mou-