Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/93

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

coup de littérature, et, ce qui est assez rare, il fait de fort jolis vers. Je ne sais s’il avait cru voir en moi les mêmes goûts ; mais nos conversations roulaient toujours sur ces objets-là, et à chaque fois il redoublait d’instances pour me faire prolonger mon séjour. — Je parierais, malgré tous vos éloges, que c’était un jeune homme comme ils sont tous, vain, étourdi, livré aux femmes, aimant la chasse, le jeu, peut-être la mauvaise compagnie, que sais-je ? — Épargnez-le, chère dame ; vous ne vous doutez