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Page:Boulenger Marceline DesbordesValmore.pdf/294

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MARCELINE DESBORDES-VALMORE

que le Rendez-vous par Mile Desbordes est « un modèle de grâce et de simplicité, et même de concision » et « remporte la palme de la romance » ; à partir de 1815, le Chansonnier des Gráces et l’Almanach des Muses publiaient à l’envi les vers touchants de la petite actrice délaissée (1) ; enfin en 1819 paraissait avec un éclatant succès la première édition et en 1820 la seconde édition de ses poésies :

Honncur à la Muse nouvelle, Qui de son luth mélodieux, Plaintive comme Philomèle, Tire des vers dignes des dieux ! s’écriait alors M. S. Pain dans les Annales de la Littérature et des Arts (2) ; et, dans son (1) Dans le Chansonnier des Graces (1815) : l’Absence au Rendes-vous, page 152 ; l’Echo page 171 ; le Premier Amoor, page 200 ; le Souvenir, page 262.— 1bid. (1816) : l’Erreur, page 47 : Gage d’Amour, page 64 ; l’Etranger an Village, page 108 ; le Billet, page 143 ; l’Amante inquièle. chansonnette, page 225 ; Romance (devenue l’élégic A la Seine dans les éditions postérieures), page 303.— Rien en 1817. — Dans l’Almanach des Muses (1815) : Romance « Quand l’amitié fremblante T’abandonna mon sort…), page 118 ; le Rendez-vous, page 166 ; le Soir, page 175 ; le Souvenir, page 256. Ibid. (1816) : le Retour aux Champs, page 183.— Rien en 1817. — Je n’ai trouvé aucune pièce signée de M. Desbordes dans les almanachs antérieurs à 1815 (sauf celle de 1813 déjà citée). (2) Tome I (1820), pages 92-93. —