un commentaire, les noms des personnages célèbres à des titres divers et qui, pour un motif ou pour un autre, n’avaient pu prendre place dans les Biographies.
Quant aux Saints et Saintes en si grand nombre qui, grâce à la piété de nos pères, ont donné leurs noms aux rues de Paris, nous avons dû, pour ne pas grossir outre mesure ce recueil, nous borner à quelques-uns des plus célèbres entre ceux dont la France s’honore. L’hagiographie d’ailleurs n’avait point été jusqu’alors le but de nos études, et pareils sujets ne se doivent pas traiter à la légère.
Nous n’avons rien négligé en un mot pour que ce nouvel ouvrage, littérairement et historiquement, ne fût en rien inférieur aux précédents ; et nous espérons pour lui, Dieu aidant, le même et favorable accueil du public.
Au moment de déposer la plume, à l’esprit nous revient un curieux passage d’un écrivain célèbre, passage cité plus d’une fois sans doute, mais qui nous paraît intéressant à reproduire sauf réserves ; car de récents et lamentables événements lui donnent un caractère singulier d’actualité :
Je ne veux pas oublier ceci, dit Montaigne, que