Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/13

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Totù opi- 

̃«©. < Qu»ri««|)i. nio. Quart. 0,>1. ««» le Fort, tige dea Rois Capétiens* ?fg

    • • sentement si y l’on reut avoir notre senseDteIneo

", t l’on Yi"eut -no,’ sen., tiineot surkle suite généalogique z ai ’M~diroM/.vec~pennM~deœux

  • « qui en sont partisans, qu’on peut avec
  • ». ^onyti^verài^iire^encequ’eUe

«°- ntttaPP«)^quesiiridesimplesconie<>««» tures. ~i-~ La précédente opinion en fit naître «(, une autre, laquelle est d’une personne y>- -qualifiée, c’est-à-dire du Duc d’Esper’«non. Ce Seigneur a tenté de faire desfccendre Robert le Fort d’Eccard Comte «̃.r d Autun, dont ti a tâché de tirer l’on>>gine paternelle, du Duc Childebrand I m par Nebeloug I Comte de Matrié, et par «- UiildcbraïKi II Comte d’Autun ; donrc liant à Eccard pour fils JVebelong H Hiierri, Eccard le Jeune et Richardr- puis "StIJlt sortir de Nebeloug Il Robert t ; k *Fort> Thierri et d^autres enfants> et cela, dit D. Mabillon, sur des pretves tinîes des Chartes du VfonastereSie Souvigny, que les Sçavans jugereit r’ fausses d’abord qu’elles parurent. oyez cette généalogie et les autres n dans les tables que nous avons eu soîn de figurer. soiti s i La quatrième opinion que D. Ma• biUon et d’autres sçavans personnages estimoient la plus vraisemblable, place le berceau de la race de nos Rois Capétiens dans la Bavière ou dans rAllemagne, et conserve par-là l’extraction Saxonne dont Aimoin fait mention. Car l’usage voulut, après que des Princes du sang de Saxe furent devenus Souverains de l’Allemagne que tous les AUemans fussent appellés Saxons. La nouvelle généalogie au reste dont nous parlons, a été établie par Jean-Jacques Chifllet, Médecin, dans un Ecrit en faveur de la Maison d’Autriche, où il nous apprend que le Duc XeUe V Cornes ut BU^riçibus Agamt maritus film fflitfrtdi Bituricensis Comitis Robert» </«*que prùno Robert Fortis Capetiorum caput. Jam v* de hujus tenoris opinione tenUn-

  • i* requiratur, ejuscUm studioso-Ii.

e,, #M" ,ÏtNorum pace dixcrinut, mérita eam rtprthendi passe, eo çu6d mèris nitatur conjrcturis.

  • T«t« •pé- *tiam, qim est. viri haud igno8io,

bilis, Ducir nehtpè Sparnonïs pnrcctiens opinio peperit.^s qnip- H i pt- Iiof>erti genus deducere tentavt ex Ectardo Comité, sfugusto- ( dunensi, eu jus paternum genus e.r c />««• Childebrnndo I per />- h Mungum r 1 Comitem Matricenscm et per Childvbruntium Il Comi- ( tvn, *4ufrustotiuncnsem* t/et/uccre II cvnotus est Eccarrfo fdios AV- l rHun»nm, Thcodcricum Eccar- p

!̃•̃««» ! Juniorcm et Iiicfmrdunt k 

’%vhcl,tnp> Kobcrtum Fortem a nrmon f/trodericum a/iosque fi- ti lios «ssi^nans prolath «r»«- S* mentis, bujuit Mabitfonius ex fa Chartis SUvbuacensu Moyaste- V rit auas viri docti statim *k oh/ue ntfgat* sunt, lit spurias /m- fife k fyirrunt. f/ùnr et {l/l(ls progrnies vUie-in tabula, Huas describi curarimtês.. Quart, o,* Qttnrta npini0) qU(t Mei,^l, lonio et aliis viris ttoctis wro bil propiùs f aceedere videtur, mémo- est ratun, ab Mmoino Sàxonicum le genus tenet i dum Capctiorum pél incunabula refert a$ BmxtrUxm ma "«̃Mlemamam. Pasïquam ènim tioi Saïonivo creti sanguinc princi- tioi pes summa rerhm potiti sunt in des sf/lemanùi ; usus Stinuit ut dev Sojrones dicerentur àmnes Aile- que "• Nora «ut™ h*c proge- Sax nies de qua agitur ^à aue- don tortm habet Joàamiem-Jacebum Jeai Chiffletum, Mcdicum, in Fin~ un diciù HUpanicis, ubi docet f^el- tricl