Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/27

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««" saïtem in aliqua bene < morigeratus, omni udio procu ! i

  • emoto, assumator non igitur q

apud Germanas cadere necessartd b debebat eteciio ù> propinquiores n et natu-majores sed libéré ex- si currere paierai m omnes masculos n Principes, quoadwtque m con~ u sanguinitate allais regio munere sa digmu rtperiretur. POrri> tune fij temperis eumdem apud Gai/os ac O opud Germanos in assttmendis qi Xegibus nwremS obtinuisse quid m vetatP Ternira confundi à Mers- Je burgensi i Episcopo arbitranmr qu cùm srribit Carolnm Simplieem JeS pactum futsse in captivitate cum e Hrnrico .lucupc. Errât pariter un «irm, dan hune Germant* %w m± «h(luid pnr Hbertate (aroli )cn- qilf ’"• /offrisse memorat Om-^f^ nés rn, m, pnvter lWfWl A>w^ .*• Senptores commun/ con- nhv smsu ( arulum Simplieetn in cap- ]c s «vitatr mmtuum, et nec ab u>r • rico Jucupe, m>c ab uito alio un- sa I llhirUlt< ’•’•/ re^no restitu- Hcn ts"’ «frrun*. an- içitur e.v d’au rartu f’aro/i Simptins in C(lptiri. Mv, sed c.v «lu> antr Sucssionense tend pnehum <<>, .r l/vnriro ^/rftp/ J><»»« nasci jus ut vuhhatur in Qmr %’arin*m ; "<">< autre Qthom II ,n beneficium à Lo. Nous tfumo concessam fuL<se h’ffiwtM. donn

  • n ,vri, id sit intelli^ndum p,o la sui

rvmmuni brnefitiorum sen fado, dlvv rum temporis natura si (x>( qms fursan est dubitantfi hem. IUI M, <Jn ;rd,n min, rationna, “«>- (,Zv >»™ qiptac de fr adclucitnus, nairtN /WO1"" ̃^«^’•’•, 7’W / ?^v*.r/ tc.r.s- /»«< m benejieuan assisse fMt/,tt. q|jj rite,a rlrivttttr, t~r~l`/rrrrirm, ~~t~r~ ! rti- siott fI lrr~ ri /~Ir~nrr j.trr-i.c .rrtj rrlrf·- tJj j~’t’1’(1 nut.or». /fine mollienda nuhis <*l>:l»aunus ridetur censura, qua mi|ne> »’"» «nwadvcrtimm in Sige/kr- tentés Ertrrr rrrl rrrtrrrtrn ~.80 ,cr~ritr/tcwtt- oriH.

^e dit par exemple Ditinar, ?«W ^w, »rocul tou esprit départi à pan, ùn choisisse Wtur ^^nbienn^H^ ssar~3 br,c~ I’~le,oa ch~ Ies :Allecrtans rtr ne T111^1 donc *»-^ssur les plus proches et !es aînés--ulos mais elle pouvoit liment se pro : mener sur tous les mâles, PrincW d u Z* sang, jusqu1à’ ce ql~Juelqu’un d’eux tune fat trouvé digne de porter la couronne. « Or quel inconvénient y a-t-il à dire W" que les François d’alors suivoient Je fers TCT usage que les A«e™ dans fers- le choix de leurs Rois ? Nous croyons "L îqUetItv^uie^ Mersbourg confond Z les *Ci11^ IorSfIu1il t :^M»e Charles «»< le Smiple, pendant sa captivité, fit ̃ «n traita avec Henri FOi^lfur I^e •™ mémo Auteur se -trompe pareillement ’•quand il raconte qUe ce Roi de Ger-ànie ibrma des entreprises pour la del.vranee de Charles, et qirt, y réussit, ^r tous les Ecrivains, excepté V- le seul I^nar, s’accordent à mpporter que Charles le Simple mourut dans sa prisou, et que ni par Je secours de Henri POiseleur, ni par le moyen •f d aucun autre, il ne recouvra la liberté ou la couronne. Ainsi le pré- fc ̃« ; tendu droit de Henri sur la Lorraine "a P" |ui venir <r"» traité fi.it par « Charles dans sa captivité ; Illaiji d’un « autre pa.s.é a vaut la bataille de Soissons >- ^ous Jksoiis <jue œtte p,x>vi»rot fut dpnniV à Othou II par Loîllail,e da la suite, à titre de bénélire. Mais peutêtre y a-t-il qu«.|q,,e_siljt.t de douter si cette donation doit être prise dans • "U sens qui la re»de de ,ôm, nature q»c les- bénélin-s ou les fiefs ordinaires de ces tems : au moins nlppor. tous-uous à ee M.jet qt,e|(Jurs ntisons <l"i scml>lejt>ieut prouver que la ces moi. qui lut faite à la paix de Heirus d.lïero.t ptui ou point d m,e pleine et entière aliénation du droit de fa coi,ronne. En cons^juence nous serions tentes d’adoudr à certains (^a,ds la critique que nous avons’fhite autrefois