Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/34

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PnjSFATIO. xxtt «I îij et peut être en voulant t éviter un éctieil, tombe- 1- il dans un autre, r lorsqu’il rapporte que Hugues Capct marcha en armes contre /frnoul de Flandres, qui lui refusoit le service militaire et qu’aire une .puissante armée il lui en- /nvi Jrfas, etc. ce que Dudon et d’autrès attribuent au Roi Lothaire à l’année %5. INous nous expliquons làdessus |wjj. 27(i. Or, plût à Dieu que Guillaume eût négligé Dudon < ton l-à -fait a ix>up sur il nous eût t donné de son propre fond un ouvrage ? 1 ou monument plus vrai et plus solide touchant les premiers Dues de or- 4 maudie lorsque nous nous étendons un jmh sur la villt- dT’11, jKMitêtre l’amour séduisant de la |iut.ric nous emporte-t-il trop loin. Car Il ne man- «  q liera pas de »c trouver «les jRTsonnes ’« qui aimeront mieux entendre du (Pointé t d’IIiesmes eel endroit-là i" dans le Koi ItoU-it. ordonnant .m Due {- < ehard et au ( ".onile l"ml<>. qui éloient v- •«̃n guerre l’un conlic l’ujtn^ d»- c 4> venir tromer. nous <non> un <x« m- l pie d>: }K»uvoir <ju’aNoit alors le Hoî de l’raiuv ; et eel exemple ne.st |kis |K’u de eliose, ou le moindre qu’on $̃ puisse alléguer, (-ti il e.>t Immi de sea- p voir que. les Mois de IVanee etoient p, nnluiLs jioiir lors a n’’ètre le j»1ij.s sou- L vent que les médiateurs de la paix et H de la réconciliation entre les Dues et In les Comtes de leur llotaumc. Ceux-ci, «  en elVet assez ordinairement e^aux tr entrYux rarement inférieurs à leur <f( propre Uoi en forteresses, en riches- lh ses, en soldats- ou troujK’s, t’t t’n jh>ssessions, .se liiisoient- la guerre It > uns (M aux autres, quand la fantaisie. leur r en tr, prenoit, et ecrasoient ainsi les jKuples 1,, •inipitoval)lémônt .V1 fl/t^iht^ Comte ,u fit- Châlorts sur Saonr, portant nnr «>> ro <ie vheval sur ses épaules, w jette uti.r ,,n genoux <le Hiiharrquod opus seu monumentum pr<>~npria marte ejregisxet 3" du m de tt- .4u go rivitate pi tira expliea- p^ us s mus, Ion gins for san duleis jmtriie n- a moi nos râpait non deernnt les tu im t qui (Kiinunsem Comitaitê tum Un malin rint intelligi 4° in le Itof-ffto Iiege Iiiehardum Ihteem [^ it Olonern Comitem discordes ad lit v’ convenire mandante potenti ;e le st :i aurtorifatis qua valebat tum H- l-rancortim AV.r spécimen vùle01 /̃ nec minimum tpiidcm sm

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ilt /wris et eonrordi.r in te ? /ieani sut X- Duces et Cot/iites sequetri exsrnt. L’t IU Ho quippè inrieem sese pro livX bitu uppeti !>litibus seu -eopiis et po»essinnibus liegi .s ua iu/eriores ,V’ Hu<fo · |s C,ahil(»ueusis Oimes oque>- rv. ♦ •» trem s llam lérens humeris* > ?> pi-oolulus genihus^Kichardi v r-oreoe supplici eniam pretvitur v coauuissie^ toinentatis. Simifc ’J autem fxemplum infra offert W illelmus lielesmensis qui f midis vestigiis equestivm sel- p^i. v.

i lam a<i siitislacieiidum lêrt.

Swgulari* igitur hic qno victi il ni i