Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/47

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lI.. ’f" fi~ d Beçno igitur^plurimùm poUefyt «- //«^» Zfcur. Inde scrièeèatjGerfn. Ilu[W ^rf«j Lothariurt Regem no* mine prêtasse Hugontm opère

  • t amicitiam Hugonis Quels

maxime expetendam, etc^ Zi ,X.Xt~I. Trib.~ui~’t Nan = gius Hugani Afagno irmnstationem c^rponm SS. tf^latici et ^Hic/tariï, quam alii Scriptores Hugoni Capéto ipsi adscribunt. j 1 AdtKï idem Capetum hune ab’ uniniMtis Regiii ’Rironibus ad t rejfimiii coiniuuui omnium y consenti rite clcctum et non J tenienfriurif’ invàsorcin., a Simile f alios légère est.’ · a mî V-VV/ ;V- Si f’"JHs Chroniae Scriptori et t oliis Jules habeatur d Hd^ô Oipet sid (lictus est, non C oh èximium eerebrum ait cras I) ^m raputt ut vulgV creditur p V <’(> ,,i«h1 ^icris ipso puerca- /c •tHilia ludo aiilerre s’olekit. r/ r-7rr/<.«j /,w^w ̃ /« Xota ibidem n voeatur /tolmrtus He.v qnia vir di litterattu erat. -s A/ In Itw instrumenta et in pnecidenti paç. 303 Rober- p, "« ^.r Dorninarn de Nogcuto H dcsjwns ;» visse dicitur sed Wft«  «/>jrfo rrrort-, vel lacuna interec- fai »/#v//r, ut nemo non videbit. ()ra- m tt’onis enim secûs /jostulat ut su

  • >/ intelligati/f de Jmalrico de tel

x Monte -forti ; < ;ui ipM. } non ,,m^ Hobertu^e.t |jji,lavit Monti fortom < ( Moutfort P Amatiri ) pex et Spiirnoiiiiini.’ A/ Notamus hic Hoberti £ /iegis nomen teste Clitoveo, Ca- né noni saero Suisse culscriptum ; et mc >.r Mezereo addimus Robertum c si sanctusvst, m hac parte haud d’a parùm fuisse adjutum à Constat*- saii tia inore qtm sœpiiis patientiam pas ejus tentar~it cretern,s~tse cjusffenr épt, vir tu tes assidue defecavit. ,j¡¡tt"’>" v avwt donc beaucoup d’autorité dans

  • « l’Etat. Aussi Gcrbert "écrive*- i ! que
  • r-. Ï4Jlha«« étoit Roi de nom, et Hugués

d’elfet :et qu’i nome sur-tout e rechercher amitié dujD~c Hugues vis etc. f ̃ ̃ ̃ ̃ ̃ r n nXWi.GuillaulDe ’ :N"~iis «- ^XX^IÎ. Guillaume de :Nangis w- attribue à Hugues le Grand la translaet tion des^orps de Sv Valeri et de S. res Riquier, que les autres Ecrivains rapportent à Hugues Capet. Le m^me ab Auteur ajoute que ce dernier fut ïégiad timement élu Roi d’un commun accord m par tous les Barons du/-Royaume et ne m fut point un téméraires usurpatçur.. On ’le peut lire quelque chose de semblable^ • ailleurs.. vp XXXIX. Si l’on en croit l’auteur de cette Chronique et d’autres, Hugues m Capet. fut ainsînommé, non à cause <|e sa lionne ou de sa grosse tète, comme l’oopinion vulgaire le veut ; mais parce que, lorsqu’il étoit enfant il avoit coutume t (Pater en jouant les capu^s à ses caman rades. Dans Une Note au même enr droit, le Roi RobertNesj appelle Clerc, parce qu’il étoit homme de lettres. XL. Dans cette pièce et dans la v précédente pag. 303, on lit que le ) Roi Rol>ert épousa une Dame de JSogent ; mais ir est clair qu’il y a là une faute ou une lacune y comme to t le monde peut s’en appercevoir./HGar la o ?u suite du discours demande- quou etir tende cela d’Amauri de Montfort l«|iiel et non le Roi Robert, ferma di murailles Montjort ?- Amauri et Espertion.. • ¡. rXLI. JNous marquons ici que le nain du Roi Robert,, selon le témoignage de Clitoveus, fut mis dans le saint Canon et nous ajoutons d’après -Mezerai que, si Robert est saint, sa femme Constance ne servit pas peu à éprouver sa patience et à épurer ses autres vertus.