conde PRjEFATIO. <gj dote, qum ex prmdicto S. Judoci Monasterio prima in oppidum Gomercium deindè in Parnensem Ecclesiam peracta est circà annum 1054. Hanc ad compendium addimu* ex Orderico Fitali, in Hist. Eccles, Ub. III. Sanctus Fulfrannus Sancti Vandregisili Monachus Episcopus posteà Senonensis seculo FUI ineunte floruk. Hic mentio fit tantùm de corporis ejus inventione et translatione, ac de miraculis ab ipso editis XI seculo. Mabillonius qui publica fecit Acta fuec ad calcem vit» S. Fuifranni, cxistimat digesta fuisse ab Anonymo Fontanellensi seu S. Fandregisili Monacho qui rebut ferè omnibus interfuit (a). Fragmenta duo Fitm Sancti Theobaldi continet hoc Folumen unum ex Cltesnio post Mabil. alterum. LJltima Acta in maximo pretio habenda sunt qum emeni/ata et magis intégra quàm anteà à Surio édita /itérant, protulit Mabillonius ex sex Manuscriptis sibi communicatis. Conscripta fucre ab Àuctorc scquali ab ipso scilicct Petro Abbate Fangailieiœ apud Venctos qui beatum virum in It al ici m advenientent excepit monasticd veste donai’it, atque eu m rotlem junxit amicitias. Sanctus Theohaldus in Franciâ natus ac in castro Pruvino educatus ex illustrissinui Campaniœ (’omit uni familid prof/iit. f’itam amplexatits Fremiticam, fugit in Italiam. Regna/ttibus in Galliâ I/cnrico l et Philip po jloruit. Anno 1066 obitt in Erento suo, huurf procul [i) /.«-(.TCf rolumui.mtmilut. memln ’iu.i in ETrerptum hû- nlitum trrei»mr «.•̃ 471’ lui. 13, LfCi’A’ïl kal. Jiniii U-r Kalrmii* Jiitiii iln~tkm Un. M.ff rtrl><i, Hi-nriio Ilr^r KraiHoruiu regnum ti-ncnlc pr.rlcr oluuutem. tt^ic matrik ( conde ; ce fut vers l’an 1054 que Ton transporta le corps de S. Josse d’abord à Nlontgomeri et ensuite dans l’Eglise de Parnes. Nous publions un Précis de cette seconde translation d’après Ordéric Vital, dans son HP liv. de l’Histoire Ecclésiastique. S. Vulfran d’abord Moine de S. Vandrille puis Evêque de Sens fleurissoit au commencement du VIIIe siecle. Nous ne parlons ici que de l’invention de son corps, de sa translation et des Miracles opérés par son intercession dans l’onzieme’ siècle. D. Mabillon qui a publié ces Actes à la suite de la vie de S. Vulfran, les croit d’un Moine de Fontenelle ou S. Vandrille y contemporain et témoin oculaire. Nous donnons deux Extraits de la vie de S. Thibaud : l’un sur l’Edition de du Chêne, l’autre d’après D. Mabillon celui-ci doit être d’autant plus estimé, que le savant Bénédictin a corrigé et complété le texte de Surius sur six Manuscrits dont il a eu communication. La vie de S. Thibaud est l’ouvrage d’un Auteur contemporain, de ce même Pierre, Abbé de Vangadice dans l’Etat t de Venise qui le reçut en Italie lui donna l’habit Religieux et devint son ami. S. Thibaud né en France de l’illustre Maison de Champagne h fut élevé à Provins ; il embrassa la vie d’Ermite et se retira en Italie il fleurissoit sous les règnes de Henri I et de Philippe 1 ; il mourut en 1066 dans son Ermitage près de Vicence. Son corps fut enterré dans la Cathédrale ; et en 1074 on le transporta dans""P/A.b- (", "( nu~ 3 tr :4IOOrl !lI ncn Lnteurs yu’il e’eet ~li~
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