plomaticis fom^ ^e»à« v^or be- origine n’étoit ni perpétuelle ,L ’t nefiaan» poweasioni qum pri- héréditaire. Hugoe^Capet v d^Z mitu* erat tantummodb tempo- Charte de confirmation de» bien* « 1 raneà, net ulld ration* per- privilèges de l’Eglise d’Orléans «| J Unebat ad hertdes. Hue adduci WO, lui accorde la possession p*. ’4 potest etiam exemplum ex Re- pétnelle d’un Domaine dont elle g*, lo. gaii prmeepto anni 990 quo Hu- n’avoit joui jusqu’alors qu’à titre 3 go Capetus in grattant Jurelia- de bénéfice. .1 ne/wû Ecclesim c habendum autorisât in perpetuum beneficium GaufrtM é » Comitis, quod Ma per manus Regias anteà videbatur habere duntaxat m » behefkium ». j
vm.
De Successione in Feoda.
Ordo successionis in feoda pro
fui.
De la Succession aux Fiefs,
II regne une grande variété daos
moriAw cujusque Provincim di- la succession aux fiefs devenus héversus deprehenditur. Odonis réditaires. Thîbaud fils aîné d’Eo-Campaniensis filius natu-major des le Champenois hérite des Cornsuccessit in Comitatus Blesensem, tés de Blois, y de Chartres et de Carnotensem et Turonensem Tours et son frere Etienne de Stephano n«tu-minori Trecarum ceuv de Troyes et de Meaux. Le* et Meldarum obtigit Domi- neveux de Geoffroi -Martel Cooi| nium. DuoGaufredi Marttlli te d’Anjou, partagent aussi ses Do,,î Comitis Àndegavensis ex sorcre maines. 11 en étoit de même dans nepotes hereditatem avuncidi sui les Maisons de Boulogne et de ™"t£"lter se dividunt idem mot in Ponthieu. i9fj, c« Bolonensium et Pontivorum Comitum/am/Vm antiquitus obtinuit. Normanniaejuerô Ducatus par. Mais le Duché de Normandie ne tmoncm non patiebatur. Oxi- se partageoit pas. Richard II donne mensem Comitatum tFiUdmus à seulement le Comté d’Hyesmes à Jg w. P. fratre suo Jtief,ardo II acceperat, Guillaume son frère en bénéfice f 85. ut mde exhiberet ei militi* sta- militairc. Richard III sucoede à son tuta quod accedebat ad similitu- père et son frère a seulement le dmem panagii * ?«appanagii. Non même Oîmté d’Hyesmes à homalia fuit Roberti conditio, dum mage. Cette Coutume pouvoit tifrater ejus Riehardm III Du- rer son origine des anciens Norcatu potiebatur. Hune nwrem Nor- mans Danois qui nu rapport de manm fartasse deduxerunt à Danis Guillaume de Jumieges, n’avoient r™ .h opud quos, référante Willelmo qu’un héritier parmi leurs fils, et 6 :!3 C.cmsticensi, pater adultos filios envoyoient les autres ebereber cunctos à se pellebat prmter fortune ailleurs. » untun quem heredem sui juris relinquebat ». De Cxïinitatu Flandriae nar- La Coutume de Flandre «u rat Lambertus Schafnaburgensis, moins pour la Maison du ( ;omte, ,w « quasi sancitum lege perpétua, avoit quelque rapport à cet ancien » ut unus fUiorUm, qui patri po- usage. Si l’on en croit Lambert tisstmum placuisset, nomen pa- d’Aschaffembourg le père Cboitris acciperet, et totius Flan- sissoit parmi ses fils pour succes-
