Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/186

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Dueatu admissam fuisse ; verim Jkw» ûutë seqûUur Burgundi», Duce* mouette cudendm jure. caruisse et multo minus, Robertum Régis Hen~rici fratrem nunquam Burgundîm Dueatumr oblinuitse. ut somniavit iw il. ffarduinus. Talentis, libris, marris, unciis numerabatur peatnia, Di- 4II> vers* monetarum species besantii solidi denarii, malim. So(idos au- T«*.JÙ£. rtot minorant Diploma Huganis-Capeti in grattant S. Martini < Turonensis, • et Odorannus in Ckronico. ¡.

Le droit de Cahsse appartenoit aux Ecclesiastiçis Dominis perindh InVcudo. Seigneurs Ecclésiasliques comme <*c Laicis competebat Venationis aux Laïques. Hugues-Capet l’ao^’jus, quod EceUsim Aurtlianensi corda à l’Eglise d’Orléans dans la confirmât Hugo-Capetus pnecepforét* qui porte aujourd’hui ce to anni 990, sic. • Leodicas quo- re~. P. Ma. nom avec liberté d’y faire > que sylva venationem, sicut anchasser tous les jours. Les Ecclé- » tecessores ejus (Episcopi) visi siastiques en faisoient part à leurs » sunt habuùse eidem sanctte Avoués qui en abusoient quelque- » matri Eccïesite habere concède, fois, témoin celui de S. Maur. des » ejusque venabula per eam sine Fossés qui vexoit les colons de > dilatione currere cunctis diebus cette Abbaye par les fréqucns et » autoriso ». Hoc jure abusos alilongs séjours qu’il faisoit chez eux, quando fuisse defensoret Ecclesous prétexte de la chasse, et qui siarum patet ex Diplomate Henfut réprimé par un Arrêt de la rici I anno 1043 quo conipri-Cour du Roi. Mais si les Eglises muntur vexationes quas in paujouissoient légitimement de ce peres cujitsdam villœ Fossatensis droit, les Canons défendoient aux Monasterii tolonos sub advocaEcclésiastiques de l’exercer par tionis specie Nivardus’ exercebat Timl tl eux-mêmes. L’Auteur de la vie du creberriniè illic moram facien- 877’ Comte Burchard blâme beaucoup do et venatum iens et rediens. un Abbé de S. Maur de l’inclina- Porrù venationis jus, non exercitiou qu’il avoit pour la chasse. Un tium Ecclesiastiçis viris tunc Evèque du Mans qui chassoit. le temporis erat lia’ t uni. MagenarCerf à cor et à cri, en fut puni par do, Abbati Fossatcnsi vitio verune chute de cheval qui lui occa- tit attetor vite Burc/uirdi, quod ̃ ,0 p sionna un ulcere au nez dont il ne canum atque bestiarum vena- 331 put jamais guérir. tionibus aviumque volatibus delataretur. Carpitur quoque in Actibus Pontificuin Cenomonensium Avcsgaudùs Episcopus quod contrà suum ordiiioin venatum per- im p. 385. gerel ibidem narratur eum equo prolapsum dùm cervum clangendo persequeretur justas insanabili ulcere luisse pœnas quia contra regulam operatus erat.

Les vScigneurs avoient .des pré- Quod spectat ad jus Domino- ju,inTiietentions sur les trésors trouvés dans ntm in thesauros inventos nar- ^f™"»".1 étendue de leurs Seigneuries. Le rat Scriptor Historix Monasterii cu.. Comte de Nantes s’empare, moyeu- S. FhrentU Salmuriensis Bunant dix livres de deniers, d’un dicum Comitem Nannetensem

  • ase d’or d’environ cent livres, signum aureum ferc centum liqu

un |Ktysan avoit découVoi-t en brarum « rustico invent um, « ul ouillaiit la terre. Les menacés dont » pote Dominum minarum irn- Tnm u p p. u» le Comte en cette occasion » probitate pro deeem libris de-