tan* cprri&nd«s in AnnalibtQ « j wiucforv ctanuimi. Philosophus t Matkenptkf ! Ww» Hùtorim périt* GuMtiçu* p Gnpcorum ac litàonim&ripiis stu-T ~ ·’ i dio* multumqu* fq ? **¥$"»*’ Mortis ipsius atuuu ma §s*apc twr t niti post obittm Segit Guilr Itlmi, atjus Actm soripsit. JuX$m Orderkty*, rts Guilïêlmi Refit | affluenter tractavit.Guill. Pictav. 1 et librum polito sermone et j magni sensus pcofun^itate pne- | clarum • edidit. ;4erU$r et viwdi Upideque describit. Comparatifnem Augustum inter et Guiitymum Conquestorem instituit eje omni patte sibi constantem. Prmttantissimum Angtim victorem cmteris omnibus accujatiàs ac diligentiùs scriptis célébrai ; de quo 1 studuit enucleare quae suis oculis viderit et quibus interfuerit. | Potuit tamen nonnumquam in iis j érrare qum ad fes Normannim ] (̃ minime speitant sic ubi narrât in partibus Britannùe Militem unum quinquaginta generare, ` ̃ sortitum denas aut atnpliùs • uxores. Nullum hujuscemodi poi lygamuc vestigium occurrif in î Britannica Historix rhonumenï tis. Mogno Historix detrimento usque ad finem Regis, adversis casibus impeditus GuiUelmus opus perducerc nequivit. Gesta :̃ e Conquestoris non ultra annum l 1070 scripsit sicque desideran- £ tur regni ejus ultimi 17 anni. s Paucissimee Manuscriptorùm reliquûe nimis mutilatie nuUibi indicant ortum genus et institue tionem ac invicti Domitoris primos annos Alormannici Prine cipatûs. Unieam novùnus hujus >- operis editionem, scilicet ab Ans drxa Chesnio inter Normannix j n Scriptores traditam ex Biblio-H thecx Cottoniame Manuscripto f ( Dom Manillon a cru que Guillaume de Poitim «jroit #* J^èqnfttf|p JLuieux ; mais c’eft une àute à corriger duos les Annales de ce célèbre Eorivajn. Guillaume était Philosophe Mathématicien ; il po*sédoit l’Histoire ancienne et avoit beaucoup lu les Auteurs Grecs et Latins. On ignore Tannée de sa mort ; mais il est certain qu’il ne mourut qu’après te Roi Guillaume, dont il a écrit l’Histoire. Orderic Vital reconnoU que Guillaume de Poitiers a traité son sujet awc une juste étendue, et un style aussi poli qu’énergique. Ses descripàons sont vives animées et fort agréables. Son paralléle d’Auguste avec Guillaume le Conquérant est très-bien soutenu..C’est certainement le plus exact de tous ce.ua qui ont écrit sur ce célèbre vainqueur de l’Angleterre il awit ̃ par lui-même la plupart des chose* qu’il en raconte. Cela n’empècht pas qu’il n’ait pu se tromper dam des faits étrangers à son objet lorsqu’il dit, par exemple qui « dans la Bretagne un seul Cheva lier en engendroit jusqu’à cin » quante, et qu’il épousait jusqu’i » dix femmes et plus », On n< trouve rien qui puisse appuyer o lait, dans les monumens qui con cement l’Histoire de cette Pro vince. Nous regrettons que Guil laume de Poitiers n’ait pas ~ni règne de son Héros ce que nous ei avons, ne va que jusqu’à l’anné 1070 ainsi les dix-sept dernière années du règne de. GuiBaume jaous manquent. Le peu de Ma nuscrits (lui nous restent de cett Histoire sont même si mutilés qu’ils ne nous apprennent rien d la naissance de ce fameux’ Conque rant de son éducation, et d< premières années de sa dominano en Normandie. On ne conno
