Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 19.djvu/54

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Cujusmqdi institutum si unquam per-

. fteiatu*, gemunt quotquot sunt Gai-

’ lieoruM annalium monumenta jam

ad xumtatt usque 122$ sine intermis-

rioae lacunisve decurrent.

Le» règnes de Louis IX et de son Columinibus hoece undevicesimum fik Philippe III, jusqu’en 1285, vont secuturis materiem Ludovicus Nonus fournir aux volumes qui suivront celui- «jusque filius, usque ad annum 1285, ci une matière assez ample pour for- Philippus Tertius, suppeditabunt nmmer, dans la collection des Historiens plissimam, qumsanè posset decimam de France, une dixième section pareille inncptra Historicorum collectione adà la neuvième, que nous achevons en implere sectionem, nbnte huic quamf ce moment. Peut-être néanmoins con- nunc absolvimus haudquaquam imviendra -1-il, pour moins morceler parem ; nisi forte satius videatur parnoire histoire, de joindre à ces règnes, cere tandem à dividenda tot in parqui remplissent un espace de cinquante- ticulas historia, proinde annis no-neuf ans, ceux de Philippe-le-Bel et vem et quinquaginta, quibus hi duo de ses trois fils, Louis X, Philippe V, Reges imperaverunt, tres quadragin-Charles IV, et de parvenir ainsi à l’an- toque superaddere queis sua dant nonée 1328, époque de l’avénement de mina Philippus Pulcher ejusque filii Philippe de Valois, cbèf d’une seconde Ludovicus X, Philippus V, Carolus branche de Rois capétiens. La dixième IC ; ita utannus attingatur 1328, ubi section comprendroit ainsi cent deux principatum init Philippus ï’alesius, ans, et il nous semble que cette divi- alterum Capetianæ prosapia ; ramum sion seroit à-la-fois plus réelle et plus inducens. Hoc pacto seculam intecommode. C’est, du reste, une question grum bienniumque insuper décima secqu’il ne nous appartient pas de résoudre : tio complecteretur ; quam quidem parti nous suffit de l’avoir proposée. titionem ut magis opportunam, sic et veriorem crediderimus. Cseterùm

quæstionem, quam solvere non nos¬

trum est, instituisse sufficiat.

NoqS n’avons plus qu’à rendre compte Nunc reliquum est ut causæ apedes motifs qui uous ont déterminés à riantur cur huic præfationi quandam placer à la suite de cette préface un ta- de Philippi Secundi Ludovicique Ocbleau des règnes de Philippe-Auguste et tavi rebus epitomen simus subjecturi. de Louis VIII. Les Bénédictins avoient Id quondam decessoribus nostris moinséré dans les préliminaires de chacun ris fuerat ut cuique suo volumini, rides onze premiers tomes du recueil de delicet ad undecimum usque, chrononos historiens une table chronologique logicum præfigerent indicem, historiaqui retraçoitle fil des événemens et four- rum capita ita contexentem ut inde nissoit les élémensd’un abrégé plus coin- confici tandem potuisset universum plet et plus exact que celui du président Henaltiano longe doctius accuratius-Héuault. JLa série de ces tables, à notre que compendium. Sed ingrata fortuavis fort utiles, a été interrompue à natulit, ut indices illi, nostro quipartir du douzième volume, par lequel dem judicio perutiles, interrupti pens’ouvre la huitième section, comprenant derent ab initio duodecimi volumiles regnes de Philippe I.*r, Louis VI c«. nis,ubioctavacôllectionisparsinchoar Louis VII, de lan 1060 a 1180. Nous tur, an nos complectens centum et vi— ne pourrions en ce moment, ni revenir ginti à millesimo sexagesimo ad milsur cette section, ni même rétablir, re- lesirnum centesimum octogesimum, relativement à la neuvième, les tables qui gnantibus Philippo Primo, Sexto contiuuent de manquer dans les tomes Septimoque Ludovicis. Nobis non-Tome XIX. B