Page:Bourdeille - Œuvres complètes, 7.djvu/461

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caire au siége de Pizzighitone est sauvé par un ennemi, le capitaine Fratin, 64-65. Réponse du maréchal Strozzi à deux cordeliers, 65-66. François de Guise regretté par les soldats huguenots ; la première armée de huguenots composée de vieux soldats, 66-67. Soldat sans guerre est cheminée sans feu ; mot. d’Alexandre VI (voy. Appendice, p. 454) à un cardinal sur le Purgatoire, 67. Paroles de Louis d’Avila assiégé dans la citadelle d’Anvers ; de Pescaire au marquis del. Gouast ; Vallès, cité, 68-69. Paroles de François Ier prisonnier au marquis del Gouast ; Vallès, cité, 62-71. François Ier parlait toujours en français, bien qu’il sût d’autres langues, 71, 74-75 ; mot de M. de Lansac, à ce sujet, 71, 74. Anecdote de Charles V et de l’évêque de Mâcon, ambassadeur à Rome, 70-72. Rilleries de Brantôme sur les ambassadeurs qui ne savent pas les langues étrangères ; évêque français ne sachant pas le latin, au concile de Trente ; le cardinal du Bellay ; service que les huguenots ont rendu aux gens d’église, 72-73. Ignorance d’un ambassadeur français près la cour d’Espagne ; le perroquet de Mme de Brienne. De la nécessité pour les ambassadeurs de savoir les langues étrangères, 74. François Ier et la reine de Navarre sa sœur savaient plusieurs langues ; Henri II parlait très-bien espagnol ; Catherine de Médicis ne parlait que peu italien ; sa fille Marguerite faisait de même ; son éloge, 75. Bon accueil que Philippe II fait à Brantôme à cause de sa connaissance de l’espagnol ; éloge de M. de Lansac, 76. Capitulation de Dinant ; Julien Roméro et le connétable de Montmorency, 76-84. Rencontre de Brantôme et de Romero à Messine, 82-83. Combat de Romero à Fontainebleau, dicton à ce sujet, 83-84. Aventures de Brantôme à Catane, et à la porte Saint-Jacques à Paris, 85-87. Passage des troupes espagnoles en Lorraine, 87-88 ; ce qu’un soldat espagnol dit à Brantôme à Milan, 88. Plaisantes anecdotes d’un soldat espagnol ; d’un soldat gascon, 88-89. François de Guise et un soldat espagnol de la maison de Mendozze, au siége d’Orléans, 89-91. Fanfaronnade d’un seigneur italien devant Henri II, racontée à Brantôme par M. d’Uzès, 91-92. Mot du marquis del Gouast sur les Gascons à la bataille de Cerisoles ; M. de Grille, 93-94. Mots sur des Espagnols fanfarons ; prise du Pignon de Belys, 94-95. — Récit de la défaite et de la mort de Gonzalès Pizarre au Pérou, 95--