Page:Bourdeille - Œuvres complètes, 7.djvu/470

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Ses regrets de la mort de son mari ; devise qu’elle prend, 349, 351 ; devises de Valentine de Milan, de René d’Anjou ; Bourdigné cité, 350-351. Son habileté ; se fait nommer régente par les États d’Orléans malgré le roi de Navarre, 351-352. Démêlés de celui-ci avec le duc de Guise à Fontainebleau ; comment elle l’apaise, 352-354 ; le cardinal de Tournon, 354. Récit fait par Catherine à Brantôme de la manière dont elle fit rompre une trêve en Guyenne ; défaite des huguenots à Maillezais ; le capitaine L’Estelle ; Sorlu et Neufry, 354-356 ; elle est accusée à tort d’être la cause des guerres civiles ; le maréchal de Saint-André propose à ses collègues du triumvirat de la noyer ; M. de Guise s’y refuse ; elle invoque le secours des protestants ; conférences de Talcy, 356-258. Prise d’armes des huguenots à Meaux ; captivité de Monsieur et du roi de Navarre ; ce qu’en dit celui-ci à Brantôme, 358-360. Ses négociations avec Monsieur ; ce qu’elle en dit à Brantôme ; États de Blois demandés par les huguenots tournent contre eux, 360- 362. Miossens rabroué par Henri III au sujet de la prise de Cahors ; amour de Catherine pour la paix, 362-363. Accusée du massacre de la Saint-Barthélemy, provoqué par les menaces des huguenots, après l’assassinat tenté sur l’amiral ; la Noue ; Strozzi ; Téligny, 362-364. Prise du Havre et de Rouen ; courage de Catherine qui s’exposait au feu des ennemis, 364-366. Accusée d’être espagnole ; défendait les duels ; querelles de Charles de la Chastaigneraie et de Pardaillan, de Crillon et d’Antraguet, arrangées par elle, 366-368. Ses gracieusetés envers la noblesse, 368. Ses dépenses ; ses dettes ; fêtes qu’elle donne à Fontainebleau, à l’entrevue de Bayonne et à l’arrivée des ambassadeurs polonais à Paris, 369-371. Détails sur cette dernière fête, 371-372 ; protégeait les artisans et surtout les maçons et les architectes ; châteaux des Tuileries, de Saint-Maur, de Chenonceaux ; aimait les savants ; se moquait des libelles faits contre elle, 373. Coulevrine qui portait son nom, 373-374 ; aimait à lire ; Dardois, secrétaire du connétable ; correspondance de Catherine, 374. Elle parlait bien français ; abolit une confrérie à Bordeaux, 374-375. Respectée du duc de Savoie et du duc de Lorraine ; était bonne chrétienne et fort dévote ; aimait la musique ; sa chambre était le plaisir de la cour, 377. Suite nombreuse de belles filles qu’elle avait tou-