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laine, Saint-Quentin et Chevigny, capitaine au corps royal du génie, lieutenant des maréchaux de France. De son premier mariage, Anne-Marie-Joséphine eut

xi. Anne-Antoinette Goussaud qui épouse Marie-Claude-Sébastien de Beausire, né le 7 janvier 1738, reçu Conseiller au Parlement de Metz, le 12 février 1760, mort en 1805, d’où

XII. Pierre-Claude-Henry de Beausire, chevalier, capitaine, au régiment d’Auxerrois, baptisé à Metz le 24 novembre 1764, épouse, le 23 juillet 1791, à Paris, Marie-Anne-Louise de Treize, d’où

xiii. Marie-Colette-Antoinette de Beausire, née le 11 mars 1793, épouse, le 27 septembre 1809, à. l’Isle-de-France, Pierre-Édouard Brou, capitaine des vaisseaux du roi, chevalier de St-Louis, commandeur de la Légion d’honneur, gouverneur pour le roi Charles X de la colonie du Sénégal et dépendances, major général de la marine^[1], né le 21 novembre 1786, mort le 24 février 1862, d’où

XIV. Henri Brou de Cuissart, né le 24 mai 1814, mort le 16 novembre 1875, intendant du 10^e corps d’armée, commandeur de la Légion d’honneur, épouse en premières noces Estelle Viéville, d’où Pierre-Noël, inspecteur général des Postes et Télégraphes, directeur général adjoint des Postes et Télégraphes en Indo-Chine, officier de la Légion d’honneur ; en secondes noces, Thérèse-Marie-Geneviève de Cuissart, d’où François-Marie-Henri et Thérèse-Estelle-Aline-Henriette, qui suivent ; il fut, par décret du 14 janvier 1876, autorisé à ajouter à son nom celui de de Cuissart.

XV. 1^o François-Marie-Henri, ancien officier, épouse Adèle-Louise-Laure-Lucy d’Evoux ;

2^o Thérèse-Estelle-Aline-Henriette épouse Henri, baron Stévenin, capitaine-commandant au 6^e régiment de cuirassiers, mort en 1884, d’où un fils :

↑ La politique lui fit demander son rappel et briser sa carrière, à la révolution de 1830, à l’âge de 44 ans ; son cousin, issu de germain, Piérre Brou était chef d’escadron maréchal-des-logis-chef dès gardes du corps de Charles X ; son père, François, sous-lieutenant des chasses de Louis XVI, avait été guillotiné en 1994 « comme chevalier du Poignard et complice de tous les complots de Capet » (Archives nationales, carton W 1 b 399).

[1] La politique lui fit demander son rappel et briser sa carrière, à la révolution de 1830, à l’âge de 44 ans ; son cousin, issu de germain, Piérre Brou était chef d’escadron maréchal-des-logis-chef dès gardes du corps de Charles X ; son père, François, sous-lieutenant des chasses de Louis XVI, avait été guillotiné en 1994 « comme chevalier du Poignard et complice de tous les complots de Capet » (Archives nationales, carton W 1 b 399).

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