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lier, Tillemont, dom Calmet, Mill, Michaëlis, Eichhorn, etc., etc., se sont occupés, en passant, et dans leurs volumineux ouvrages, des légendes apocryphes du Nouveau Testament ; en fait de publications spéciales, nous mentionnerons la dissertation de Th. Ittig, De pseudepigraphis Christi, Virginis Mariæ et Apostolorum, jointe à son travail sur les hérésiarques de l’époque apostolique (Leipzig, 1696), et l’ouvrage de Kleuker, über die Apokryphen des N. T. (Hambourg, 1798).

Nous signalerons aussi : J. J. Eurenius, De libris N. T. in genere. Lund, 1738, in-4o ; de Burigny, Sur les ouvrages apocryphes supposés dans les premiers siècles de l’Église, mémoire inséré dans l’Histoire de l’Académie des Inscriptions, tom. xxvii, p. 88 ; Is. de Beausobre, Dissert. de N. T. libris apocryphis, Berlin, 1734, in-8o. Nous n’avons pu réussir à consulter l’Essay concerning the books commonly called apocrypha. (London, 1740, in-8o). Nous avons déjà fait mention du remarquable travail de M. Douhaire, inséré dans l’Université Catholique[1] ; nous citerons aussi une thèse en deux parties (40 et 22 p. in-4o), imprimée à Konigsberg en 1812 : De Evangeliis quæ ante Evangelia canonica in usu Ecclesiæ christianæ fuisse dicuntur… publice defendet D. F. Schutz, et nous n’omettrons pas une dissertation de F. J. Arens : De Evangeliorum apocryphorum in canonicis usu historico, critico, exegetico. (Gottingæ, 1835, 61 p. in-4o).

  1. T. iv, p. 361-369 ; v, 121-131, 270-279 ; vi, 108-115 ; vii, 275-285 ; viii, 92-103 ; ix, 354-364 ; x, 255, 349-359.