Page:Buckland - La Géologie et la Minéralogie dans leurs rapports avec la théologie naturelle, 1838, tome 2.djvu/181

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

e. Portion de la coquille externe ; on y voit comment elle est formée de lames juxta-posées.



Planche 34, t. I, p. 288, note.


L’animal du nautile flambé, figure exécutée par Û. Owen, sur la demande que je lui en ai faite, et destinée à montrer comment le siphon se termine dans le péricarde. (D’après nature.)

a. Le cœur.
b. Une soie partant du péricarde, et se prolongeant dans le siphon membraneux mis à nu.
c. Soies indiquant les orifices qui font communiquer le péricarde et la cavité branchiale.
d. d, d, d. Follicules communiquant avec les artères branchiales[1].
d’, d’, dd′. Cloisons péricardiales constituant de minces réceptacles musculaires où sont contenus les follicules. e e. Les branchies.
f. La cavité branchiale.
g. L’entonnoir, ou ouverture de sortie de la cavité branchiale.
h. La valvule de l’entonnoir.
  1. M. Owen pense-que ces follicules ont pour office de déposer dans le péricarde les impuretés du sang, lorsque l’animal étant retiré dans l’intérieur de sa coquille, l’eau ne peut avoir accès dans la cavité des branchies. L’excès de ce fluide péricardial pourrait être rejeté par les orifices qu’indiquent les soies c, c.