Page:Bulletin de la société des historiens du théâtre, année 5, n°3-4.djvu/26

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Mai Naissance de la querelle; arrivée de Piccinni à Paris, ’son éloge. L’Esse de Marmontel; lettres de Suard. Septembre Armide reçue avec indifférence; Gluck a travaillé dans mn genre qui n’est pas le sien. La Harpe, après avoir désavoué quelques mots en faveur de l’Bssat de Marmontel, publie une critique amère et étendue du système musical de Gluck. Réponse de Suard.

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BEMSELSKY (prince). De la musique en Italie (La Haye, 1778).

En réalité, Belowselsky-Beloserki. Pougin a corrigé dans le supplément à la Biographie de Fétis une des nombreuses erreurs de celui-ci il avait avancé que Belowselsky traitait ’Gluck de c barbare sans mélodie ni chant, bon à renvoyer dans les forêts, de la Germanie or, rien n’est plus faux ~:e jugement se trouve, mis au figuré dans la bouche d’un supposé ennemi de Gluck, dans une lettre de Suard sur l’ouvrage du prince (Journal Encyclopédique, octobre 1778). Au contraire, Belowselsky consacrait à Gluck vingt-cinq pages élogieuses, lui reprochant seulement de < manquer de verve CoQU&Mj. De la mélopée des anciens et de la mélodie chez les .modernes (Paris, 1778) (T). NOUGARET (P. J.-B.). Enéide, suMe d’Armt’de. Paris, 1778 (L).

Plaisanterie.

Anonyme. Vers sur Armide et Roland (J. P., 10 janvier 1778) (L).

Pour Gluck et Mlle Levassenr.

Anonyme. Lettre de MM. du Concert des Amateurs (J. P., 12 janvier 1778) (L).

lis demandent à Gluck la permission d’exécuter une Armide, de Cambini.

GLUCK. Réponse à la lettre précédente (ibid.). H accorde « avec plaisir l’autorisation demandée.