Page:Burnett - Le Petit Lord.djvu/181

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À peine un jour se passait-il sans qu’on les vît galoper, tous trois de compagnie, sur les routes du voisinage ou à travers les vertes prairies. Les enfants sortaient des maisons pour venir voir le joli petit cheval, qui semblait tout fier du gentil cavalier qui se tenait si droit sur sa selle, et le petit lord leur jetait un joyeux bonjour, en faisant flotter son chapeau d’une manière fort peu digne peut-être, mais très amicale.