Page:Burnett - Le Petit Lord.djvu/43

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— Ah ! Et pourquoi ? demanda M. Havisam.

« Si j’étais très riche, je pourrais lui acheter… »
« Si j’étais très riche, je pourrais lui acheter… »

— C’est que, répliqua l’enfant, il y a tant de choses qu’on peut faire avec de l’argent ! Ainsi, par exemple, la marchande de pommes : eh bien ! si j’étais très riche, je pourrais lui acheter une petite tente, avec un petit poêle pour s’installer l’hiver, et, chaque fois qu’il pleuvrait, je lui donnerais un dollar, de manière à ce qu’elle ne soit pas obligée de sortir et qu’elle puisse