Page:Busquet - La Nuit de Noël, 1861.djvu/63

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Il ne sait rien, sinon que le temps révolu,
Quand les astres auront, dans leurs cours absolu,
Renouvelé le pacte où son espoir se fonde,

L’épi se dressera superbe, et que les blés,
Avec leur douce voix, aux laboureurs troublés,
Diront le ciel clément et la moisson féconde.